Israël appelle ses ressortissants à quitter l'Egypte et la Jordanie

Publié le par Adriana Evangelizt

Là encore la poule chante avant d'avoir pondu l'oeuf. Quand la poule dit qu'il va y avoir un attentat dans tel ou tel pays, effectivement bien souvent, il y en a un. Et comment sait-elle, la poule, qu'il va y avoir des attentats ? Parce que c'est elle qui les commet, tout simplement. Il faudrait voir là aussi de changer de changer de méthode. Parce qu'entre les voitures qui explosent au Liban, les éternels attentats au Sinaï dont tout le monde sait qui les perpètre et les Arabes recrutés pour jouer les espions du Mossad, à l'Ouest rien de nouveau.

Israël appelle ses ressortissants à

« quitter immédiatement » l’Égypte et la Jordanie





Israël a appelé hier ses ressortissants effectuant des voyages en Égypte ou en Jordanie à « quitter immédiatement » ces deux pays en raison de « menaces concrètes très élevées » pour leur sécurité. Le Bureau de la lutte antiterroriste relevant du bureau du Premier ministre a classé la Jordanie et l’Égypte, seuls États arabes au Proche-Orient liés par des traités de paix avec Israël, parmi huit pays arabes dans lesquels les Israéliens sont confrontés à « une menace concrète très élevée ».

Le texte précise que la menace sécuritaire est valable pour « toute l’Égypte, mais particulièrement la péninsule du Sinaï » très prisée des touristes israéliens, surtout lors de la période de la Pâque juive, qui commence cette année début avril.

Les six autres pays concernés par la « menace très élevée » sont le Soudan, la Syrie, le Liban, la Somalie, l’Irak et le Yémen. Les Israéliens ne peuvent pas théoriquement se rendre dans ces pays, sauf s’ils sont munis de passeports étrangers.

Une tension règne entre l’Égypte et Israël depuis la récente diffusion par la télévision israélienne d’un documentaire sur la liquidation présumée de prisonniers égyptiens par des soldats israéliens durant la guerre israélo-arabe en 1967.

À ce sujet, l’ambassadeur d’Israël au Caire, Shalom Cohen, a déclaré hier soir que l’affaire a été « montée de toutes pièces » par les parlementaires égyptiens. « Ce que nous ressentons, c’est qu’elle a été montée de toutes pièces par le Parlement (égyptien), qu’elle n’est pas liée à la réalité. C’est erroné », a déclaré M. Cohen devant des journalistes. « Mon sentiment est que certains éléments radicaux veulent utiliser la liberté de la presse contre Israël, avec le souhait de porter atteinte et de saper les relations entre les deux pays », a poursuivi M. Cohen. L’ambassadeur s’exprimait à l’issue d’un entretien avec le chef du département d’Israël au ministère égyptien des Affaires étrangères, Ahmad Ismaïl. M. Cohen avait demandé à rencontrer M. Ismaïl pour lui transmettre « les clarifications, du point de vue d’Israël, sur cette affaire », indique un communiqué de l’ambassade d’Israël reçu par l’AFP.

M. Cohen a, par ailleurs, indiqué avoir fait part de sa « déception à l’égard de la terminologie qui a été utilisée au Parlement contre Israël et contre l’ambassadeur israélien ». Une commission du Parlement égyptien, réunie mardi pour examiner cette affaire, a qualifié Israël d’« État terroriste », tandis que dimanche, des députés ont qualifié l’ambassadeur d’Israël de « chien ».

Sources
Lorient le Jour

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans MOSSAD EN EGYPTE

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